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Les émois de PASCOU
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14 mai 2010

LE LENDEMAIN DE L’ASCENSION, JE M’OFFRE UNE « ÉLÉVATION »…

Depuis la mi-journée, je ne sais comment résister à cette envie

Qui, assis, au bureau, tout excité là, m’a pris.

Plutôt si, je le sais trop bien !

A l’heure du café, j’ai joué avec mes mains…

Jambes ouvertes,

Caresses lentes offertes,

Paume à plat là posée,

Sur le mat déjà dressé…

Bien vite, le tissu me gêne, le plaisir me gâche.

Alors, la ceinture, je détache.

Le pantalon, maintenant déboutonné,

Reste le zip à abaisser…

Je poursuis mon calin là,

D’une main sur le bas ventre,

De l’autre, plus bas,

A l’union de mes cuisses, entre.

Bientôt, le vêtement de mes jambes me serre,

Je me lève et le met à terre.

Mes caresses sont plus insistantes

Là où la bosse est bien vivante.

Mes doigts tout doux

Jouent de leur bout

Sur mon membre voyou

Et, surtout, sur son bout…

Toujours plus excité,

Je me sépare du dernier tissu collé.

Ma queue dressée,

Aurait bien aimé être sucée…

Mes mains s’attardent maintenant

Sur la peau de mes cuisses,

Laissant l’édifice

Quelques instants.

Puis, l’une prend à revers l’engin,

L’autre se promène de mes couilles à mon trou…

Je suis de plus en plus fou,

Sur ! Je n’attendrai pas demain !

Avachi sur la chaise,

Je suis plus à mon aise

Pour aller et venir

Sur mon menhir.

Je vais et je viens

Et j’aime.

Je vais et je viens

Sur moi-même…

Ma queue dure et dressée vers moi

Attendra tes baisers.

Je me branle d’une main,

Mes couilles parcourues de deux doigts…

Dans mon corps, la flamme est au plus haut.

Je me relève presque d’un bond

Pour m’installer sur la moquette au coin du bureau,

A genoux, cuisses écartées, assis sur les talons.

J’accélère la cadence,

Je n’y tiens plus.

Mon corps est incandescence.

Oh, que j’aimerai être vu !

Et puis, en un instant éternel, tout disparaît…

Mon corps sexplose en de multiples traits…

Si tu avais été avec moi, m’aurais-tu maté ?

Si tu avais été avec moi, m’aurais-tu aidé ?

Que dire, en conclusion ?

En ce lendemain de l’Ascension,

Avec mes mains, je m’offre une « élévation »

En pensant à toi qui es trop loin de ma physique attention…

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Commentaires
E
Et dire que pendant ce temps LA une personne à besoin de toi ....
G
Et dire que pendant ce temps là, il y en a qui bossent dur !<br /> <br /> Bonne fête !
Les émois de PASCOU
  • ----- Bribes intimes de ma vie de quinqua ... Parfois tristes, parfois gaies, toujours optimistes, toujours réalistes ----- " Seul le battement à l'unisson du sexe et du cœur peut créer l'extase. " Anaïs Nin (Vénus Erotica)
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