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Les émois de PASCOU
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29 octobre 2010

« 30 ans… et toujours vierge »

Hier, en me promenant sur la toile, mes neurones ont dégusté cet article intitulé « 30 ans… et toujours vierge » . Et mon passé mes revenus…

Oui, moi aussi, à trente ans, j’étais toujours vierge. Ou puceau. Je préfère « vierge », plus doux, plus romantique, plus féminin, à « puceau », trop dur, trop masculin, trop honteux. Oui, parce que, de ma virginité, j’avais honte. Je la taisais, je n’en parlais pas. Même si mes proches se doutaient, voire savaient, ils ne m’en parlaient pas. Par respect ou par désir ne pas faire mal.

A vingt et un ans, je suis tombé éperdument amoureux d’une jeune femme de mon âge. Je lui ai avoué mon Amour (oui, avec un grand « A »). Elle ne partageait pas ce sentiment pour moi. Snifff !!! Je l’ai aimée presque deux années, sachant très bien que mon sentiment n’était que platonique. Néanmoins, c’est grace à elle que j’ai appris l’Amour (oui, toujours avec un grand « A »).

Toujours très timide jusque à l’aube de mes trente ans, isolé en province dans ma tête et physiquement, je me suis replié pendant tant et tant d’années. Oh ! Point donc de religiosité dans ma virginité, ni volonté de faire passer ma carrière professionnelle en priorité puisque j’étais membre actif de l’ANPE, ni attouchements subis dans mon enfance, ni orienté sexuellement vers les hommes. Non, point de tout cela. J’étais plutôt dans l’évitement et la sublimation, comme le dit, dans cet aticle, la sexologue Michèle Saal : « D’autres sont dans la sublimation. Romantiques, ils attendent l’homme ou la femme de leur vie. On retrouve ici ceux qui n’arrivent pas à faire le deuil d’un premier amour disparu et qui restent fidèles à une image fantasmée. Ils sont dans le deuil inachevé d’un idéal. »… « Ils se sentent moches, mal faits, stupides et doutent sans cesse de leur séduction. Mal dans leur peau, mal dans leur corps, mal dans leur vie, ils sont souvent les victimes d’un lien maternel lourd : mère castratrice ou, au contraire, intrusive ou absente. »

Jusque à ce que, travaillant dans la région parisienne, elle se soit intéressée à moi. Qui ? Qui donc ? Elle. Appelons-la Mary-Lû. Femme expérimentée, aux « nombreuses heures de vol » comme elle aimait à se définir, libre, rayonnante, intelligente, patiente, c’est à elle que j’ai offert ma virginité. Ouf ! C’était il y a seize ans. Seize ans seulement, seize ans déjà. Elle aussi, je l’ai aimée avec un grand « A ».

Virginité. Cadeau pour celui ou celle qui la reçoit, boulet pour celle ou celui qui l’a. Tel est mon avis. Tel fut mon ressenti.

Comme promis voici bientôt trois ans dans le 5.1/ de ce mémo , je viens de vous raconter la perte de ma virginité. Ou une partie seulement…

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Commentaires
P
(prend un billet pour la hollande et va voir une superbe pute légalement... et c'est pas cher, et tu seras plus puceau)<br /> <br /> http://pornmind.net/
K
L'ironie est que ton post est illustré par une pub avec le postérieur en gros plan d'une jeune dont on aperçoit la culotte sous la ceinture qui lui sert de jupe :-D<br /> Et dans ce que je lis, je retrouve aussi ce que j'ai appris il y a peu sur qui tu sais ;-D
Les émois de PASCOU
  • ----- Bribes intimes de ma vie de quinqua ... Parfois tristes, parfois gaies, toujours optimistes, toujours réalistes ----- " Seul le battement à l'unisson du sexe et du cœur peut créer l'extase. " Anaïs Nin (Vénus Erotica)
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